Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— Tiens ! ça fera justement mon affaire, je viens de casser une de mes bretelles ! |
LE CHINOIS DE CANTON DANS L’EMBARRAS DU CHOIX.
LE FRANÇAIS. — Si tu ne m’écoutes pas, fusillé ! L’EMPEREUR DE LA CHINE. — Si tu l’écoutes, pendu ! LE BOURGEOIS DE CANTON. — Je n’inspire de confiance ni à l’un ni à l’autre, je serai fusillé et pendu ! |
— Ces farceurs de Chinois, pour des amateurs de thés, ils ne veulent guère se régaler de poudre à canon. |
— Ces deux-là n’ont pas trop l’air de s’entendre sur la manière dont ça doit se porter. |