Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 3.djvu/277

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— Mon cher, fallait t’en douter ! Faut pas aller se faire bichonner chez les coiffeurs de ce pays-ci.

— Voilà le grand mandarin de la Chine avec ses vingt-quatre parasols !

— Ah ben ! il m’a fait une fameuse peur ; j’ai cru que c’était le marchand de parapluie, que ça nous annonçait de l’eau.

— Le troupier est en honneur dans ce pays-ci ! Je me suis laissé dire par le sergent que dans c’te pagode-là les Chinois adorent un dragon. Oui, mon cher, un simple dragon !

— Puisque t’en es amoureux, dépose tes hommages à ses pieds.

— À ses pieds ! voilà la difficulté ; elle n’en a pas, tu vois bien.