Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 3.djvu/283

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— Vous voilà, milord ; c’est étonnant, vous êtes toujours aussi grand ! Les journaux qui prétendent qu’on a diminué la taille pour les Anglais à cause des affaires de l’Inde. Quelle plaisanterie !

NENA-SAÏB ET SON BARBIER.

— Barbier, qu’est-ce qu’il y a de nouveau ?

— Mais, il y a que votre tête est mise à prix pour 30 000 roupies ; c’est une jolie somme.

— Pardon, je crois que ma barbe pourra aller comme ça pour aujourd’hui.

M. Prud’homme ayant la bonté d’aller tous les jours au Jardin-des-Plantes lire au tigre du Bengale les nouvelles de chez lui.
Entre deux maux, mieux vaut choisir le moindre.