Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 3.djvu/285

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— Mon cher Kabyle, vous voulez faire causer la poudre ; mais voyez donc nos orateurs.

— Tiens, mon garçon, voici les outils pour travailler à la route de Kabylie. Tu déblaies d’abord ton terrain avec celui-ci, puis tu continues avec l’autre ; c’est pas plus malin que ça.

L’administration du chemin de fer algérien prie instamment messieurs les voyageurs de vouloir bien ne pas mettre leur tête à la portière.

— Dis-donc, tu vas me donner ton fusil, je l’enverrai au pays pour qu’ils commencent un chemin de fer avec.