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— Vous appelez cela avoir dompté mon cheval ? — Certainement ; ce sont les dernières ruades qui l’emportent, voilà tout ! |
— Monsieur, j’ai dompté votre cheval, il ne bougera plus. — C’est vrai, voilà une heure que je suis dessus, impossible de lui faire faire un pas. — Eh bien ! monsieur, ce sera comme ça toute sa vie ; il sera là dans vingt ans ! |
Erreur de M. Rarey : ayant dompté des chevaux, il se croit assez fort pour dompter autre chose. | Les chevaux poussant dorénavant la complaisance jusqu’à tenir eux-mêmes leur jambe pour se laisser ferrer. |