— Monsieur, je ne veux pas payer pour mon chien, il m’a mordue.
— Cependant, madame, si vous devenez enragée vous serez considérée comme ayant hérité de lui, et les héritiers étant responsables des dettes, vous devrez dix francs.
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— Que le diable soit de l’animal ! et dire que j’ai payé pour cette bête comme chien d’agrément !
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