Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 4.djvu/293

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le turco n’ayant plus la moindre considération pour le lion de l’Atlas, depuis qu’il le sait assez crétin pour se laisser mettre en cage au jardin des Plantes.
Le turco ne voulant plus s’asseoir comme les autres croyants, mais bien sur deux chaises, ainsi qu’il l’a vu faire sur le boulevard des Italiens.
Le cadi est fort étonné en voyant les turcos le saluer désormais à la mode de Paris et l’appeler « mon bon ! »

— Vous promenir turcos toute la journée palanquin ! Moi apprenir le tarif à Paris, moi payir comme fiacre, moi donnir trois sous !