Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 4.djvu/303

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— Mon bon monsieur, ayez pitié d’un candidat malheureux ruiné par ses affiches.

— On vient de me mettre d’un bureau.

— Quel bonheur ! Un bureau de tabac ?

— Commencez, la Chambre vous écoute.

— Pardon, monsieur le président. J’attends que ma femme soit arrivée, et je ne la vois pas encore dans la tribune.

— Ils s’occupent du pays. Moi, je m’occupe aussi de la payse !