Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 4.djvu/307

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— Tu sais, mon cher, si ton élection n’est pas validée ; ce n’est pas la peine que tu reviennes à la maison !

— Mais entrez donc !

— C’est que je me méfie ! Comme je suis un nouveau à la Chambre, je crains que les anciens ne me fassent des farces.

— Messieurs, je vous en supplie ! validez mon élection. Voyez donc comme tout cela me va !

Vingt-quatre heures que je suis député, et voilà déjà ma femme et mon fils qui apostillent des pétitions.