Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 4.djvu/327

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— Cinq ans que je cours les bals à Paris pour marier ma fille ! Huit jours que je suis à Bade, et demain elle épouse le baron d’Affenthaler !

— Sans chaussure ?

— Je viens de la vendre très-cher à un joueur. Parait que j’avais marché dans quelque chose qui est signe d’argent.

— Pourquoi te promener ainsi courbé en deux ?

— Pour fêter le centenaire.

— Te fêter ! toi qu’as fait les cent coups !

— Dam ! c’est un centenaire comme un autre.