Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 4.djvu/367

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Soulouque, faisant faire son portrait, profile des tons de chair employés par l’artiste pour faire donner une couche à ses bottes.
L’impératrice Ourika devient furieuse contre son professeur de piano qui ose soutenir qu’une blanche valait deux noires.
Soulouque désirant avoir des comédiens ordinaires à l’instar de tous les empereurs, parvient, à force d’or, à attirer dans son île la troupe entière du théâtre Guignol.
Colère de l'impératrice en surprenant son mari qui courtise la directrice dans les coulisses du théâtre de la cour.