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À AIX (EN SAVOIE.)
— Ventrebleu ! baigneur ! faites-donc attention, vous me raclez le dos trop fort. — Excusez, mon bourgeois ! c’est que, voyez-vous, dans ma jeunesse j’ai été ramoneur ! |
— Il n’y a que les sources françaises qui me fassent du bien, aussi je ne viens à Aix en Savoie que depuis l’annexion. |
— Ventrebleu ! vous ne me donnez seulement pas le temps de me déshabiller ! — Oh ! monsieur, ça n’en finirait plus, alors ! Je n’aurais pas le temps de doucher les autres, faut que je me dépêche. |
Terreur d’un baigneur qui sort d’un bain térébenthiné à la vue d’un monsieur qui s’approche de lui le cigare allumé à la bouche.
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