Le tourniquet nécessitant une nouvelle méthode de communication avec son agent de change.
|
— Le syndicat des agents de change vous paye pour entrer à la Bourse ?
— Oui, grâce à mon poids ! On espère que je casserai le tourniquet.
|
— Tenez, mon bourgeois, deux places pour voir la Bourse.
— La Bourse ! merci ! pour payer encore au tourniquet. Il n’y a pas de Bourse sans tourniquet.
|
— Voyons, puisque ta bourse est au service de tes amis, prête-moi cinq francs.
— Mon cher, je n’ai jamais plus de dix-neuf sous dedans, ma femme craint que je n’aille à la Bourse.
|