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— Mon ami, rentre donc ta langue ! — Rentre la tienne ! Si tu crois que ce soit facile d’une chaleur pareille. |
— Mademoiselle Françoise, je vois sur le journal que la troupe va prendre des chemises de coton ; qu’il va falloir que je quitte de suite ma chemise de toile. — Dites donc, tout de suite ! Je pense que vous allez attendre que vous soyez rentré à la caserne. Vous n’allez pas changer ici ? |
— Je t’assure que c’est un homme très-comme il faut. — Laisse-moi donc tranquille ! Il ne serait pas à Paris dans cette saison-ci. |
— il faut que je profite de ce que nous sommes à Asnières pour écrire au vicomte. « Mon cher vicomte,
« Je vous écris de Wiesbaden…… » |