Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
L’EMPEREUR DU MAROC. — Allons, bon ! vlan ! Qu’est-ce qui vient de m’envoyer ça ? Je ne sais auquel répondre, ils parlent tous les deux à la fois ! |
— Voyons, il me faut votre parasol. — Mon parasol, je ne l’ai pas : il est à raccommoder, et puis d’abord vous m’avez pris mon vieux. Combien qu’il vous en faut donc à vous ? |
L’EMPEREUR DU MAROC. — Ah ! bigre ! moi qui le croyais chez lui en train de prendre son chocolat. L’ESPAGNOL. — Mon ami, je viens vous donner un tabac ; vous savez qu’il a de la réputation chez nous. |
Le taureau très-enchanté que l’Espagnol ait trouvé autre chose que lui à combattre. |