Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 5.djvu/45

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— Faut pas avoir peur de vous noyer, c’est toujours du bien que vous faites au brave homme qui vous repêchera ; c’est quinze francs que vous lui donnez. Plus que vous restez au fond, plus qu’il est payé : faut pas craindre !

— Va y avoir une bataille, c’est sûr ! Voilà le Monitor et le Merrimac qui vont se rencontrer !

Rêvant que son élève fait de rapides progrès.

— Animal ! tu as vu que je buvais ! tu pouvais donc pas me tendre la perche !

— En entrant tu m’as dit que l’eau était bonne… j’ai cru que tu buvais pour t-en régaler !