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L’empereur de la Chine dictant la lettre par laquelle il exprime aux Anglo-Français le profond chagrin qu’il éprouve du malentendu de Pei-Ho.
Le canon rayé permettant aux Anglo-Français d’entrer en rapport direct avec la cour de Pékin.

— Général, allez et soyez victorieux ; sinon, je ne vous dis que ça.

L’empereur de la Chine comptant sans sa natte en espérant cacher à son peuple la terreur que lui inspirent les dépêches.