— Comment, Joseph, tu t’es mis cocher de fiacre ?
— Oui, madame : je veux jouir de nos libertés.
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LA LIBERTÉ DES FIACRES.
— Ce sera vingt sous et j’embrasserai madame, c’est mon dernier mot.
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— Un fiacre qui vient de me passer dessus.
— Écoute donc, mon ami, c’est peut-être son droit avec la nouvelle liberté des voitures.
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— Mais, cocher, vous ne me menez pas où je vous ai dit ?
— Madame, avec la liberté des voitures, je vous mène où je veux.
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