Page:Chambrier - Au delà (Fischbacher 1886).djvu/212

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Puis avec un soupir qui montait dans notre être,
Nous avons pris chacune un différent chemin.

Nous avons poursuivi la route solitaire,
Le cœur plein de tristesse et de vague regret,
Avec le sentiment que jamais, sur la terre,
Un semblable destin ne nous réunirait.


Bevaix, 27 septembre 1882.