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Kaled.
Quatre cents sequins.
Le vieillard.
Quatre cents sequins ! c’est bien cher.
Kaled.
Ah dame ! c’est une Française : cela se vend bien ; tout le monde m’en demande.
Le vieillard.
Voyons-la.
Kaled.
Oh ! elle est bien.
Le vieillard.
Elle baisse les yeux ; elle pleure ; elle me touche. C’est pourtant une chrétienne : cela est singulier. Trois cent cinquante.
Kaled.
Pas un de moins.
Le vieillard.
Les voilà.
Kaled.
Emmenez.
Dornal.
Arrêtez… ma chère Amélie !.. Arrêtez.
Kaled.
Ne vas-tu pas m’empêcher de vendre ? vraiment, je n’aurai pas assez de peine à me défaire de toi. Vous autres Fran-