i\21 : OKliVTxES
me à un homme^ le meilleur des écrits polémiques qui parurent au temps delMaupeou; cela est de lui. Vous devez connaître ce qu'il a écrit sur la censure. Une grande partie du morceau iiititulé -.Réflexions sur r ouvrage précédent , imprimé à la suite de l'ouvrage de Priée dans mes Cincinnati, est de lui ; et cela lut jeté en un instant. En un mot, je vous suis garant qu'il a une vaste littérature, des con- naissances très-nettes, et la tête pleine de choses et de bonnes choses. Par exemple , non-seulement il est au courant de toutes les idées saines en éco- nomie politique, mais il en a redressé plusieurs: non- seulement il est au courant de toutes nos idées philosophiques, mais il a donné à plusieurs beau- coup d'énergie et d'extension. Le patriciat a reçu de lui de rudes coups de knout dans le procès des Quiessat, etc. etc. De plus (et si nous ne traitions qu'entre nous, j'aurais commencé par là), c'est un parfaitement hoiméte homme , bon, diaud, sen- sible , pur , incorruptible ; et 1 on vous offre de plats coquins. Enfin, et ceci passera dans votre cœur, il est mon ami particulier ; il est digne d'être le vôtre ; et il m'a rendu un service iir.portant que je ne lui ai pas même demandé, ni indiqué, avec loute sorte de chaleur et une grâce charmante.
Je sais bien, mon ami, que tout cela, quoique îrès-sonore à votre Ame, ne voiis ferait pas faire ce que vous ne croiriez pas devoir faire j mais, en conscience, croyez-vous devoir quelque chose en ceci? où est le plus digne? où sont les données
�� �