les enfans des hommes, et quand il s’agit de sottises ou de faiblesses, il dit les enfans des femmes.
On serait trop malheureux, si auprès des femmes on se souvenait, le moins du monde, de ce qu’on sait par cœur.
Il semble que la Nature, en donnant aux hommes un goût pour les femmes, entièrement indestructible, ait deviné que sans cette précaution, le mépris qu’inspirent les vices de leur sexe, principalement leur vanité, serait un grand obstacle au maintien et à la propagation de l’espèce humaine.
Celui qui n’a pas vu beaucoup de filles, ne connaît point les femmes, me disait gravement un homme, grand admirateur de la sienne, qui le trompait.
Le Mariage et le Célibat ont tous deux des inconvéniens ; il faut préférer celui dont les inconvéniens ne sont pas sans remède.