Page:Champsaur - Pierrot et sa Conscience.djvu/151

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découvrirent de nouveaux absolument pareils. La mystérieuse se déshabillait sans cesse. Mais elle demeurait toujours vêtue de la même façon, si elle devenait de plus en plus mince. Les Yeux avaient de fascinatrices lueurs phosphorescentes, et toujours elle gardait son exquisité de lignes. Mais le pluriel de lignes devenait de plus en plus singulier.

Pierrot se demandait si son rêve allait être insaisissable comme tout infini bonheur. Enfin, elle rejeta le dernier pantalon de dentelle et surah, ôta les derniers bas de soie noirs, les derniers petits souliers qui avaient en croix des