Page:Champsaur - Pierrot et sa Conscience.djvu/71

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

loges, celles des clubs mondains et des princes de la fête, il y avait un joli vient-et-va d’élégantes, pas toujours garanties distinguées, et d’amis, tandis que, dans le haut, sans doute, d’aucuns et d’aucunes, n’entendant plus les échos des valses, des polkas, des quadrilles, le bourdonnement monotone d’une rumeur sensuelle, étaient, loin des municipaux, au paradis, séjour des bienheureux. — Métra, lui, ou son ombre, avec son archet, menait toutes ces choses.


Musard, face grêlée, était livide et funèbre, presque macabre, au milieu