Page:Champsaur - Pierrot et sa Conscience.djvu/93

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souterrains qui sont, de chaque côté, au-dessous des avant-scènes, ils gagnèrent les corridors des loges où (après le premier pourchas aux aimeuses du gratin, les dominos de soie et les jolies ou laides en mantilles de dentelles), se promenaient, maintenant, des femmes à maillot commun. Le long des murailles, des habits noirs étaient debout en rangs d’oignons, entre lesquels passaient les deux courants contraires d’autres habits noirs et de filles.


Une admirable gourgandine, déguisée en Zanetto, le manteau de velours usé attaché à l’épaule et tombant jus-