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NOTES.

— 2o Secundus Tomus Biciniorum, quae et ipsa sunt gallica, latina, germanica (Wittembergae, apud Georgium Rhaw, 1545, in-8 obl.), no 10 (avec une musique à deux voix de Certon) ; — 3o Quatriesme Livre des Chansons a quatre parties nouvellement composez, etc. (Lovain, Pierre Phalése, 1555, in-4 obl.), p. 14 (mus. anonyme) ; — 4o Livre de Meslanges, contenant six vingtz chansons (Paris, Le Roy et Ballard, 1560, in-4 obl.), fol. 54 (mus. à cinq voix de Gombert) ; — 5o Liber musicus, duarum vocum cantiones… complectens (Lovanii, apud Petrum Phalesium, 1571, in-4 obl.), p. 34 (mus. anonyme) ; — 6o Bicinia, sive Cantiones suavissimae duarum vocum, etc. (Antverpiae, excud. Petrus Phalesius, 1590, in-4 obl.), no 17.


IV


La chanson Doulce memoire, dont nous avons parlé sous le no II, est suivie, dans la plupart des recueils qui nous l’ont conservée, d’une réponse ou « rebours », dont voici le début :


Finy le bien, le mal soubdain commence,
Tesmoings en sont noz malheurs qu’on peult veoir…


Le dernier vers du-huitain original est devenu le premier de celui-ci, qui se termine, au contraire, par les mots :

Doulce memoire, en plaisir consommée.