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Au moment où les nouvelles destinées de la République absorbent toutes les pensées, j’ai cru devoir porter la mienne sur les moyens d’y faire prospérer les arts et les fabriques.
La puissance colossale de l’Angleterre, me suis-je dit, repose sur la prospérité de son commerce : mais elle croulera le jour même où la paix générale appellera tous les peuples à concourir avec elle.
C’est cette terrible vérité, toujours présente à l’esprit dominateur du Gouvernement britannique, qui en dirige toute la politique : c’est moins à notre constitution qu’à notre com-
