Page:Charles-Joseph Mayer, Vie de Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, femme de Louis XVI, 1793.djvu/156

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soins de son honnête homme de père, de lui rappeller cette époque de sa fortune, même en public. Ce Campan si digne de la faveur d’une grande princesse, étoit le secrétaire perpétuel de ce comité du cabinet, même de la garde-robe : Bonneau de nouvelle édition, mais plus intelligent que son modèle, c’est à lui à qui la Reine dut la nouvelle invention de donner ses ordres et ses rendez-vous en musique. Sous le prétexte d’en faire copier ; Campan en portoit au petit enfant de l’amour dont j’ai déjà parlé ; il y en avoit toujours quelques lignes de la composition