Page:Charles-Joseph Mayer, Vie de Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, femme de Louis XVI, 1793.djvu/264

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tence en compagnie de quelque individus aussi abjects.

La ligue voyoit avec plaisir ces révolutions qui commençoient à faire naître le trouble et les dissensions, présage des calamités auxquelles elle aspiroit ; mais en même tems la nécessité de la circonspection lui faisoit appercevoir le danger de trop se montrer. Ainsi donc, elle en demeura là, bien résolue cependant de profiter des premières occasions. Antoinette profita de cette trêve pour se livrer à un autre genre d’occupation,

À la Cour de France, chacun

avoit