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Page:Charles-Louis Philippe - Bubu de Montparnasse, 1901.djvu/145

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nir et lui avaient appris que les cataclysmes s’engendrent l’un l’autre. Elle était malade parce qu’elle n’avait pas de chance et pour cette même cause elle croyait que Maurice resterait loin d’elle pendant des années.

Alors elle se sentait perdue, elle promenait sa pensée tout le long des lendemains pour y découvrir un petit bonheur qu’elle eût saisi à pleines mains, elle s’arrêtait à tous les coins où l’on pouvait s’arrêter, mais rien ne suffisait à son cœur parce qu’elle venait d’un beau pays et qui était son pays.