des parties éxigeoit, sans doute, cette diversité corrélative des moyens. Il est assés apparent, que les parties similaires n’étoient pas faites pour se régénérer précisément comme les parties dissimilaires.
Ceci n’est pas même simplement vraisemblable : c’est un fait que l’observation établit. L’écorce d’un arbre, la peau d’un animal se régénèrent par des filamens gélatineux, qui sont comme les élémens d’une nouvelle écorce ou d’une nouvelle peau. Ces filamens ne représentent pas en petit l’arbre ou l’animal ; ils ne représentent en petit que certaines parties similaires de l’arbre ou de l’animal ; je veux dire, des fibres corticales ou des fibres charnuës, qui par leur évolution formeront une nouvelle écorce ou une nouvelle peau.
Mais ; les branches ou les rejettons d’un arbre, la tête ou la queuë d’un ver-de-terre sont représentés en petit dans un bouton végétal ou animal. Ce bouton contient actuellement en raccourci l’ensemble des parties intégrantes qui constituent le tout organique particulier.