Page:Charles Derennes Le peuple du pôle 1907.djvu/237

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ÉPILOGUE

C’est le 25 novembre dernier que j’eus complètement fini de classer et de recopier la liasse de papiers que m’avait confiée M. Louis Valenton. Il faut dire que je ne m’étais pas borné à cela et que tout en poursuivant mon travail d’éditeur, je m’étais livré à une enquête indispensable. Je crois bon de le répéter ici : pour rien au monde je n’aurais voulu devenir le complice conscient ou non d’une plaisanterie, si grandiose fût-elle, et, plus encore, il m’aurait déplu dans ce cas que le nom de mon illustre ami L. Valenton fût mêlé à l’affaire.

En procédant logiquement, le premier point était de savoir si les héros de la tragique aventure dont je venais de feuilleter la relation n’avaient