Page:Charles Virmaître - Les Flagellants et les flagellés de Paris.djvu/231

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
QUATRIÈME PARTIE

La rue Laferrière. — Notre revanche. — Un Pensionnat de Jeunes Filles. — Les Cocottes à passions. — Les allumeuses. — Le coup du Téléphone. — Une vengeance amusante.




CHAPITRE VIII
La rue Laferrière. — Notre revanche. — Un Pensionnat de Jeunes Filles.


La rue Laferrière, anciennement passage du même nom, prend d’un bout rue Notre-Dame-de-Lorette et se termine de l’autre rue Bréda. Cette rue forme un arc de cercle, ce qui fait qu’il est impossible d’y suivre la ligne droite ; elle est très peu passagère, et pas du tout commerçante, à l’exception, toutefois, de deux ou trois boutiques, dont l’une, surtout, a un certain aspect mystérieux qui dit énormément de choses ; dans les autres boutiques, on y vend des objets et des instruments qui ne sont pas faits pour augmenter la population de

la France. Il faut dire que ce genre de commerce est fait avec discrétion, car les commerçants pour-

9