119 Histoire
■— " xillo & Vcrdugo , pour prouver que le Prf*î
'^^* lac étoit & avok toujours été fufpqilF depuis fon facre. Le P. de Hinoftiola, fon Frère , lui en avoir laifTd un pareil fixt bien raifonné , & dont TEvêque a coujoncs ^ru que les Jéfuites croient les Auteurs >& c'cft fur ce fondement que , dans toutes les X-cttrcs & dans tous les Mémoriaux po- bliés en fon nom & produits au Confeil roïal des Indes par fon Procureur ^ il ac- çufoit les Jcfuifes de l'avoir chaiTé de fon Diocèfc , comme ils avoicnt déjà fait , di- foit-il 5 deux de fes Prédecci^eurs : accuiâ- rion qui fc trouve répétée dans plufieurs I^ibelles, & furtout dans la MorM pratU que desjéjuuesy mais toujours fans aucun fondement ( i )-
Par malheur pour le Prélat , Tavis des trois Religieux, dont je viens de parler, a été depuis confirmé par la Sentence des Cardinaux de la Congrégation du faint Concile de Trente s & le Gouverneur étoit bien perfuadé que les Pères de Saint Do- minique , ceux de la Merci , & plufieuis
( I ) Ces deux autres le fecon'i a vécu {urqn*!
Jvêqucs font D. Thomas fa mort en très .bonne
de Torrez , de l'Ordre intelligence avec eux.
deSainrDomioique, qui D'ailleurs qu'auroicot
de TEvêché de l'AfTomp- gagné ces Religieux pat
ttoii pafTa à celui du Tu- ces tranHatioes i puifqM
cuman; & Pom Chrif- le plus grand nombce, 8c
cophe de AnM » de Ixfs principales Maifons
l'Ordre de Saint Uenoît , de leur Province éioicnc
3ui fut transféré à celui dans les Diocèfe^de Bne-
e Buenos Ayrcs. Le prc- nos Ayrès U du TifÇê*
xnicr n'eut jamais aucun man.
'd[éi9cié saffçi le$ JéiVitcs j
fraoclT^uains^