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Page:Charlevoix - Histoire du Paraguay, tome 3.djvu/268

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PlBCES^ rUSTl'riCAtlVM

Maeftre de Campo

DECLA^'AT.S^^^ftif" ^^ Léon, )6iDoMBE«.-y »^5 demas pcrfo- î*AiLDiN , nas rcfcridas > cofa 3POU». LA 6E- jjc Jos quartos Je

fr«.Esv '^os y delta Ciudad ,

venian marchando para ella , y affi fa- camos de dcntro def- ta Iglefia S. al Cor- redor délia el dicho cftandarte 5 y de nue- Vo , (in embargo de un vando que man- damos publicar an- tes, bolvimos à man- dar y reforçando mas iodo lo antécédente» en orden à que deba* zo de las dichas pe- Has falieflcnà refiftir la dicha entrada con Tas dichas armas ; v mandâmes quedal- fen algunas perfbnas à hazernos alTiflen' cia , y al dicho Real Eftandarte, que tu- vimos en nueftra snano , con que man^ damos à nuedro Lu-r garteniente General a guerra Juan de Val- fejo Villafanti , y à I0& Capitaoes (^uc

viron une heure ^ . près-midi , nous ca- mes des avis certains que le fufdit MeftrC de Camp Sébadiea de Léon , & coûte fa fuite , n'étojent guc* re qu'à une demi- lieue de la Ville ^ vers laquelle ils mar*» choient. Aufiî - tôt nous tirâmes de cet- te fainte EgUfc W tendarc roïal , & le fîmes placer fous le portique :*nous oh voïàmes enfuice pu- blier de nouveau d*une manière pltt) expreflé encore, ibosf les peines furdites, un ordre d*aller à laf rencontre de Sébaf-- tiendeLéon,& dem- pccher qu*il n'entrât dans la Ville. Non» voulûmes feulement que quelques - uns redalTent auprès de* nous & de TEten^ dart roïal y que nous prîmes en main. Puis nous commandâmes à notre Lieutenant général de guerre,. Jean de Vallejo Yil^