noirs, qu’elle eût le visage rond ou ovale, qu’elle fût petite ou grande, belle ou seulement passable. Ste. Anne lui-même n’y prit presque pas garde, mais il sentit en la voyant ce qu’il n’avoit jamais senti. Il abandonna à deux ou trois survenans le soin d’entretenir et d’écouter ses autres parentes, et suivit Mademoiselle d’Estival à l’étable, où elle voulut voir une chienne qui venoit de mettre bas ses petits. En revenant de-là elle apperçut un poulet qui traînoit le pied, elle prit le poulet, et vit que la jambe étoit cassée ; aidée par Ste. Anne elle la remit. Une cuisiniere s’étoit brûlée au bras, ils pansèrent la plaie ensemble. Mademoiselle d’Estival en faisant ces choses avec une extrême dextérité, y mêloit des simagrées fort
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