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Page:Charrière - L'Abbé de la Tour, tome III, 1799.djvu/305

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je ne préférasse à une contention où peut-être — Quoi peut-être ? — où ma belle-sœur pourroit être nommée. Dans quelqu’accès de rage Jenny pourroit dire que je ne refuse de l’épouser que parce que j’aime la femme de mon frere. Ce que Melro lui-même ne s’est pas permis de dire, serai-je cause qu’on le dise ? — Il l’a dit, car elle le sait. J’outragerai, je tuerai votre oncle que vous aimez tant, et votre belle-sœur que vous aimez encore davantage. — Oh quel besoin de me repéter ces paroles ! les avois-je oubliées ? Les oublierai-je jamais ? Ce sont elles qui m’ont déterminé. À peine les avois-je entendues, j’allois promettre quand Jack est arrivé. — Melro a donc parlé. — Non je me