Aller au contenu

Page:Charrière - L'Abbé de la Tour, tome III, 1799.djvu/341

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
131

apprens pourquoi je serai parti. Yedburg, ruines chéries de Yedburg, ma mere, mon oncle, mon frere, pourrois-je me résoudre à vous quitter pour toujours ? Mon cœur se fend. Oh ! coulez mes larmes, et puissiez-vous me soulager.[1]

  1. Charles, comme on l’a vu, ne partit point alors. Soit courage ou foiblesse il assista au mariage de son frere. Oh, pensées diverses et flottantes, amour, vertu ! que vous tourmentez le cœur !