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VIE DE RANCÉ

l’île de Cuba se décèle par l’odeur des vanilliers sur la côte des Florides. « Nous étions, dit Leguat, en présence de l’île d’Eden : l’air était rempli d’une odeur charmante qui venait de l’île et s’exhalait des citronniers et des orangers[1]. »

  1. Voyage et Aventures de François Leguat, p. 48, tom. Ier.