Page:Chaudon, Delandine, Goigoux - Dictionnaire historique, tome 12.djvu/512

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sQs=“ G11re"’ ’ mourut le 6 mars 1706, à 57 ans, après s’être fait jouer, dans sa chambre, une Pièce de poésie de sa composition qu’il avait fait mettre en musique ; le sujet en était pieux. Ses ouvrages sont zl. Description abrégée des ordres de chevttíerie, en allemand, 1709, in-S". II. Poésies aile-1mmdes, 9› qμ(1}gdg, g, » Clllfe LIUÎFCS (l(¿S P018t*<ïrraie.š, in-S". III. La temgue allemande -formée peu à peu, ou Traité’de t’ori q*ine et des progrès de cette íamguo, in-8°, en allemand. IV. Dissertavfio de’serip toribus’laÃisto*›*’¿a.*›n’sá2f cette åvn ’¿’l’¿ust1’antíbus, inb“. VL Ila aussi travaillé au Journal de Leipsíclr. C’éiait un homme’d’une vaste littérature Ses poésies allemandes sont estimées, ct sa langue doit beaucoup à ses ouvrages et à ses recherches GRYPHE (SÉBASTIEN), né en 1495, à Ileutlingen, en Souabe, vint :Rétablir il Lyon, où il exerça Yart de l’imprimerie aiec beaucoup de succès, de 1528 à 1556. Il a fait à son Virgile. une prél très-bien écrite. On peut louer aussi celle qu’il a mise en tête du Poíitien. Il mourut le 7 septembre 1556, in 65 ans. Charles Fontaine lui fit cette épitaphe : Le gi and Griffe, qui roux griffe, A griffé le corps dz Gryphe, Le corps de ce Giyphe, mais Non le los, non, non, jamais. Parmi les belles éditions dont il a enrichi la littérature ; on distingue sa Bible latino de 1550, / l GRYP in-fol : /Il y employa des carnet ères ronds et les plus gros qu’on eût vus jusqu’alors. C’estun chef(l7G3l.IVl’C de typographie. (Voy. Douar, 11° 1" de ses ouvrages. On lait cas de toutes les Bibles hébraïques q11’il a publiées, en particulier de Fódilion du Trésor de la langue sainte de Puguin. - Son frère, François, imprimeur de Lyon, et ensuite de Paris, substitua le caractère romain aux camctères italiques dont Sébastien se servait dans toutes ses éditions ; ce qui en diminue le prix. -Antoine Gnomz, fils de Sébastien, soutint digne nient la réputation de son père. Sa seconde édition du Trésor de la ícmgua latino *est un modèle d’impression. Ils avaient pour enseigne un Gryplton, et c’est la marque ordinaire de leurs livres, avec cette devise : V irtutc ducs, comité ’fortunâ, que le commeroede de Lyon a prise depuis pour la sienne. «(}IlYPHE.ou GRIFFIQ (Annuannn), imprimait il Venise, en 1 581. Il existait à Padoue un imprimeur nommé Christophe GIYPIIIJS, qui avait pour marquîe un Hercule terrassant le serpent in plusieurs lêtefsf On trouve dans une dissertation intitulée Schediasnia, de cíaris Grÿpliiisg lå1-ieg, 1702, iii-lp, publiée par Jean Thèod. Leubsclier, une Notice de trente écrivains ou autres personnages connus sous le nom deGryph, Greífil ou Gryphius. 1 “ rm 1111 ’nouzišate vonuxiin.)’ ua LIlllPl’1Ill1EPII§ DE 1ïEi1 oNv1LLia~, ’r.u1a cuiusrnxi. 1