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la crurent dans la Campagne d’Albe.
p. 140.
II. De celle de Leandre Alberti, de Kirker, ou plutôt de Mathei, qui d’après lui, la placèrent à Algide.
p. 187.
III. Celle de tous les Commentateurs d’Horace, qui entendirent d’une M. de C. du Poëte, le texte qui nomme une M. de Camp. du haut Tuſculum.
p. 255.
IV. Celle de Fl. Biondi, & de Suarez & Cecconi qui l’adopterent, qui la montre dans la Campagne de Paleſtrine.
p. 326.
V. Celle du même Biondi, qui ſans égard pour ſa première opinion, en forma une ſeconde qui nomme la Vallée de Farfa.
p. 344.
VI. Celle de Cluvier qui détermine Monte-Libretti.
p. 350.
VII. Celle de Kirker qui parle en général de Tivoli & du P. Volpi qui
aſſigne le lieu précis de S. Antoine.
p. 449.
VIII. Celle de Piazza qui ſe prêta au deſſein formé de ſubſtituer Vaconè
p. 466.
IX. Un autre de Kirker, qu’on peut regarder comme formée par la place qu’il donne à la M. de C. d’Hor. ſur le Mont de Poggio-catino, dans la Carte de la Sabine dont il acrut ſon Latium. Addit. & C. de la II. P.
p. VIII.
X. Celle de Barrius & des Calabrois qui ſur le fondement du nom d’Aulon, qui ne ſignifie qu’un Coteau de la C. de Tarente, crurent une M. de C. d’Hor. dans la Calabre préſente, au lieu où fut l’ancienne Caulonie. III. P.
p. 526.
Ces X. Opinions, dont la Réfutation fait la matière de la II. Partie, ſont celles qui ont été formées réélement. J’avois fait précéder dans la I. Partie les ſentitnens pour d’autres lieux qu’on auroit pu avoir avec plus ou autant de prétexte ; & tels seroient ceux qui aſſigneroient.
