Page:Cherbuliez - Amours fragiles, 1906.djvu/297

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raisonnable ? combien demande-t-il pour ces deux taches ?

— Ton idée était bonne, lui dit-elle ; il s’est contenté d’un abonnement perpétuel à la Lumière, ce qui lui fait d’autant plus d’honneur qu’il ne sait pas l’allemand.

— Il en sera quitte pour l’apprendre, répondit-il. Allons, voilà qui est bien ; mais par exemple c’est lui qui payera le port. »

Il ajouta en embrassant sa femme et lui tirant doucement l’oreille :

« La journée t’a paru longue ? Bah ! console-toi, ma chatte ; il n’y a rien à voir dans leur Fontainebleau. »