On lit peu les errata, et l’on a tort, car il en est d’essentiels ; peut-être cette négligence regrettable tient-elle à ce que les auteurs oublient eux-mêmes la précaution, (que je vais prendre), d’indiquer, avant tout, l’opération fort simple que voici :
Tout voyageur intelligent (et je n’aurai affaire, je le sais, qu’aux voyageurs de cette sorte) est infailliblement muni de son crayon ; c’est une aide indispensable à la mémoire de ceux qui veulent se souvenir, et les intelligents aiment à se souvenir ; donc, après avoir coupé les feuillets vierges de ce livret immaculé, prenez votre crayon, et faites avec icelui un trait — qui ne tachera pas trop les blanches marges du volume, aux pages suivantes :
77. — Premier alinéa.
82. — Dernier alinéa.
112. — Premier alinéa.
160. — Quatrième alinéa.
275. — Premier alinéa.
Ce signe — que vous retrouverez plus tard forcément dans le cours de votre lecture, vous forcera, à son tour, à vous reporter à cette page 417, où vous lirez les corrections essentielles qu’ont exigées des erreurs ou des omissions importantes, les seules qui méritent réellement d’être signalées aux intelligents.
P. 77, premier alinéa. — Tout ce qui est décrit dans ces lignes a été jeté bas pour faire place au nouvel hôtel de ville. L’École de dessin a trouvé un asile provisoire dans l’école communale de Saint-Germain. (V, p. 192, premier alinéa), en attendant qu’elle soit établie définitivement et beaucoup plus convenablement dans l’école primaire supérieure dont nous avons parlé p. 175.