d’usage pour en faire l’application sans hésiter de marquer d’un point capital toutes les s qui ont le son doux du z au milieu des mots, ou de les cédiller ? Car pour les finales, à la réserve de quelques-unes que l’on fait par l’usage se prononcer fortement, elles forment le son du z devant un mot qui commence par une voiièle, où elles sont muètes.
T ramolli
marqué par un
point ou une
cédille. « Lorsque t est immédiatement devant
un i suivi d’une autre voiièle,
dit aussi M. Girard, il varie de même
son articulation, en y prenant celle
du c dans beaucoup d’occasions, &
y gardant aussi souvent celle qui lui
est propre. Comment en faire la
distinction ? Cela n’est pas possible
autrement que par mémoire & par
éducation. Si l’on vouloit aider les
yeux, il faudroit appeller ici le point souscrit
ou prosodique que j’ai déja
proposé pour distinguer h aspirée,
placé sous t, il en indiqueroit le
ramollissement, » & par ce moyen on
verroit que primatie, portion, les portions,
exemptions, quotien, partial, se
prononcent autrement que sortie, questions,
bastion, chrétien, nous portions.
Au lieu de point on pourroit cédiller