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avait acquis une grande célébrité, surtout dans la curation des maux d’yeux où il excellait. » — Extrait du prospectus de la réimpression des Œuvres politiques de Marat, l’ami du peuple par la veuve Marat.

DE L’HOMME, ou des principes et des loix de l’influence de l’âme sur le corps, et du corps sur l’âme, par J.-P. Marat, docteur en médecine. — À Amsterdam, chez Marc — Michel Rey. — 3 vol. in-12. T. Ier, 34. — 323 pages et tables ; 2 pl. en noir. — T. Il, 379 pages et tables. — Ces deux volumes publiés en 1775. Un troisième parut l’année suivante (1776) ; il est de 220 pages.

DÉCOUVERTE de M. Marat, docteur en médecine, et médecin des Gardes-du-corps de Mgr  le comte d’Artois, sur le feu, l’électricité et la lumière, constatées par une suite d’expériences nouvelles qui viennent d’être vérifiées par MM. les commissaires de l’Académie des sciences. — À Paris, de l’imprimerie de Clousier, rue Saint-Jacques. — 1779. — 1 vol. in-8 de 4-38 pages.

RECHERCHES PHYSIQUES SUR LE FEU, par M. Marat, docteur en médecine et médecin des Gardes-du-corps de Mgr  le comte d’Artois. — À Paris, rue Dauphine, chez Cl.-Ant. Jombert, fils aîné, libraire du Roi pour le Génie et l’Artillerie. — 1780. — 1 vol. in-8 de 202 pages. Approbation et privilège du Roi. — 7 pl. en noir.

DÉCOUVERTES de M. Marat, docteur en médecine et médecin des Gardes-du-corps de Mgr  le comte d’Artois, sur la lumière, constatées par une suite d’expériences nouvelles qui ont été faites un très-grand nombre de fois sous les yeux de MM.  les commissaires