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tant qu’elle avait pu vivre pour son amant, s’en fit une de la douleur, qu’elle conserva jusqu’au tombeau.
Telle était la situation vraiment tragique de madame de Luzi quand elle me rencontra au pavillon, exprimant dans la solitude où je croyais être, tous les tourmens d’une amante abandonnée.
S’étonnerait-on encore que ces rapports essentiels entre nous, aient aussi vîte excité son intérêt, son dévouement et cette activité bienfaisante qui, par la suite de ses propres douleurs, lui faisait chercher et prévenir tous les êtres malheureux.
CHAPITRE XIX.
Madame de Luzi qui, dans toutes ses volontés n’avait jamais rencontré