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Page:Choiseul-Meuse - Julie, ou J’ai sauvé ma rose, 1807.djvu/145

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le plus aimable ne l’est jamais beaucoup après cette seconde métamorphose. C’est une chose dont le plus adroit n’a jamais su tirer parti ; il n’y a rien à gagner pour nous, et tout à perdre pour eux. Maintenant, Julie, si vous ne m’avez pas comprise, j’en suis fâchée ; mais je vous assure que je ne vous dirai pas un mot de plus sur ce sujet. — Il fallut, faute de mieux, me contenter de cette explication. Elle était assez claire, me direz-vous ; oui, je conviens maintenant de son exactitude ; mais j’étais sans doute alors bien inepte, puisque, au lieu de me donner la solution tant desirée de cet intéressant problème, elle ne fut pour moi qu’une source nouvelle de doutes et de réflexions.

Dès que Céline eut fini sa toilette, on annonça M. Dorval : je l’avais vu