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mais en vain regardais-je autour de moi, le temps des amours semblait être passé. Le palais de M. d’Irini était un vrai désert ; la jeunesse folâtre en était bannie : au lieu de cette agaçante familiarité qui régnait chez Céline, et de cette gaîté décente qui faisait le charme de la société de Rosa, on n’apercevait sur tous les visages que la contrainte et l’ennui. Le deuil de mon père durait encore ; cette situation ne lui permettait de recevoir que ses plus proches parens, et leur société me déplaisait à un tel point, que la solitude me semblait préférable. Il était pourtant décidé que nous passerions encore trois mois dans ce triste séjour, temps nécessaire pour terminer les affaires de M. d’Irini avec la famille de sa femme.