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sipèrent enfin les nuages qui obscur- cissoient son front. Elle parut oublie entièrement ses chagrins, pour ne s'occuper que du plaisir de répondre à mes caresses. Que je dois remer. cier le ciel, me disoit-elle en m’em- brassant » de m'avoir envoyé, au moment où je n’en espérois plus de secours , non seulement des protec- teurs ,mais encoré une amie telle que vous F |

Nous nous séparâmes enfin, et je Jui promis que le lendemain malin je viendrois moi-même la réveiller. ” Lorsque j'entrai dans sa chambre, elle étoit déja toute habillée. Je lui proposai de venir avec moi embras- ser Rosa : e‘étoit toujours par-la que je commençois la journée. Ma tante étoit encore au lit, lorsque nous en- trâmes dass son appartement, Elle