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Page:Choquette - Les Ribaud, 1898.djvu/138

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Les Ribaud

Mais lui :

— Hi… hi… hi… pourquoi qu’vous les aimez pas, vous, père François… les Anglais ?

Il se fit un éclair subit dans le cerveau de Madeleine jusque-là témoin inconscient.

— Calme-toi, François, reprit celle-ci… Voyons, rentre au logis, mon bon François ; laisse donc ce pauvre fou… viens François et elle mit des caresses dans sa voix.

Le vieux domestique la regarda longuement :

— Vous ne direz rien de ça à M. Ribaud, n’est-ce pas, mademoiselle ?

— Non.

— Pas un mot… ni de Pitre… ni de moi… ni de la chanson… pas un seul mot ?

— Pas un mot.

Et François se laissa ramener jusqu’à la